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| Photo d'illustration - Nounours |
Certains n'ont pas la même vision de l'utilité de nos amis félins. C'est au nord de l'Italie, dans la région de Brianza, qu'un homme a éveillé les soupçons de l'équivalent de la société protectrice des animaux chez nous, l'Aidaa.
L'homme semblait être un amoureux des chats, comme il en existe tant d'autres. Pourtant, il ne faut pas s'y tromper, s'il adoptait, de façon récurrente, des félins, ce n'était pas pour leur offrir un foyer doux et agréable, loin de là même. En effet, les membres de l'association ont commencés à avoir des doutes, après que l'homme ait déjà rabattu plus d'une quinzaine d'adoptions. Et leurs soupçons ont menés à une bien triste découverte, puisqu'ils se sont aperçus que l'homme en question, après adoption, tuait les pauvres félins pour les cuisiner, et les servir à ses invités.
Pire encore, il avait visiblement des goûts bien définis puisque sa préférence allait vers les chats noirs, généralement âgé de moins de 3 ans, et suffisamment dodus pour en faire quelque chose, selon le journal La Stampa. Si l'Aidaa a commencé à avoir des doutes, c'est parce qu'elle s'est rendue compte que l'homme mettait un point d'honneur à éviter les contrôles vétérinaires pour ses chats, adoptés par le biais de l'association. C'est en débarquant chez lui, que les membres du collectif ont pris l'homme sur le fait, alors qu'il allait, une fois de plus, passer à l'acte...
Il a alors été arrêté pour mauvais traitement aux animaux. Il risque de 3 mois à un de prison, mais également une amende pouvant s'élever à hauteur de 15000 euros.
Source : Le Parisien
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